Introduction
Le kimchi est bien plus qu’un simple condiment en Corée : c’est une institution. Fermenté, piquant, savoureux, il accompagne quasi tous les repas. De la fermentation naît un goût complexe, un peu acidulé, souvent piquant, dont chaque famille garde le secret.

Ingrédients
Chou chinois (Napa / chou nappa)
Radis coréen (ou daikon)
Poudre de piment coréen (gochugaru)
Ail, gingembre
Oignons verts ou cébettes
Sauce de poisson (ou alternative végétarienne)
Sel marin, sucre
Farine de riz ou poudre de riz gluant pour la pâte d’assaisonnement (facultatif selon la version)
La recette
1. Couper le chou chinois, le saler puis le laisser dégorger dans une saumure (pendant plusieurs heures ou une nuit).
2. Rincer, égoutter le chou.
3. Préparer la pâte d’assaisonnement : mélange de gochugaru, ail, gingembre, oign… oignons verts, sauce de poisson, sucre, parfois radis / carotte émincés.
4. Enrober chou + légumes de cette pâte.
5. Mettre dans un bocal hermétique, laisser fermenter à température ambiante quelques jours, puis conserver au frais. Le goût évolue : plus on laisse fermenter, plus il devient piquant/acide.
Le saviez-vous?
Le kimchi est historiquement un moyen de conserver les légumes pendant l’hiver, mais cela est devenu une tradition familiale et communautaire. coree-culture.org+2Parlons Coréen+2
Le “kimjang” : moment annuel (souvent en automne) où les familles préparent de grandes quantités de kimchi pour la saison froide. coree-culture.org+1
Il existe des centaines de variantes : selon la région, la famille, les légumes utilisés, le niveau de piquant. coree-culture.org+2chefsquare.fr+2
Conclusion
Faire son propre kimchi, c’est participer à une tradition coréenne millénaire, exprimer sa créativité (en ajustant les légumes, le piquant, etc.), et enrichir ses repas d’un condiment chargé de goût et de bienfaits (probiotiques, vitamines…). Chez Kam Yuen, vous trouverez tout le nécessaire pour préparer un kimchi authentique, chez vous à Bruxelles. Un petit pot, une grande histoire.
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